• La morale, le devoir

    La morale, le devoir

    Que gagnons nous à faire notre devoir ?

    Introduction :

    morale : capacité à évaluer un acte selon une échelle de valeur dont les deux pôles sont le bien et le mal

    meours : usages considérés comme bon au sein d'un groupe social.

    Problématique : Faisons-nous notre devoir afin d'obtenir une récompense ? Ou est-ce justement la caractéristique du devoir morale que nous devon l'accomplir parce qu'il est bon n lui même et indépendamment de ce que cela pourrez nous apporter ?

     I/ Quelles est la valeur des moeurs ?
    A/ Platon, La Fable de l'Anneau de Gygès (République, II)

    Gygès le berer avait un comportoment parfaitement juste mais quand il devient invisible grâce à un anneau magique, il devient injuste. Cela semble indiqué que nos comportements conforme à la justice le sont à cause du contrôle des autres.
    L'invisibilité symbolise le fait d'échapper aux regards d'autruis. On appelle "bonne-moeurs" les bonnes actions qui sont jugés bonnes parce qu'elles sont conformes aux valeurs d'un groupe social.

    contrainte (=/= obligation) : nous agissons contre notre désirs spontanés et contre notre volonté réfléchis. Il s'agit d'une pression extérieur à laquelle on cède.
    Exemple : les bus ne passent pas et on est obligé à rester chez soi)

    obligation (=/= contrainte) : nous agissons contre notre désir spontanée mais selon notre volonté réfléchis. L'obligation renvoie à un sens interne du devoir.
    Exemple : Quand on pratique un sport et qu'on doit aller à la compétition.

    Bilant A :

    Le regard des autres nous insiste à faire notre devoir, c'est ce qu'on appelle les moeurs (bonnes-meours). Cependant dans ce cas nos bonnes moeurs sont contingentes parce que nous pourrions aussi bien mal agir si les autres ne nous contrôler pas. Kant distingue l'autonomie et l'hétéronomie.
    Selon Kant, la véritable morale se distingue des moeurs. Nous agissons moralement quand nous faisons  une action parce que nous pensons qu'elle est bonne.
    Pour Kant, l'autonomie morale est lié à la conscience.
    Remarque : Platon confond justice et morale. Kant les sépares, la justice est la conformité extérieure de nos actions à la lois, la morale est l'intention de bien agir selon ce que nous indique notre conscience.

    II/ La consiense morale
    A/ La morale du sentiment

    Selon l'hypothèse de la conscience morale nous développons de manières autonome ce sens du devoir et du bien. Ce dernier provient-il du sentiment ou de la raison ?
    Kant partage avec Rousseau l'idée que nous avons une consicnece morale mais il affirme que cette dernière doit être liés à notre raison.
    Si nous faison le bien que quan nous sommes touchés, nous ne faisons pas out le bien que nous devrions faire.

    B/ La morale rationnelle de Kant

    Il y a deux types de rationnalité :
    - L'entendement
    -La raison
    L'entendement est un calcul pour le meilleur des circonstances. C'est un impératif hupothétique.
    La raison est la solution idéale, c'est faire le meilleur. C'est l'imparatf catégorique.
    Pour reconnaitre qu'une action est bonne, Kant propose un raisonnement : il faut se demander si la maxime de cette action est universalisable.

    En fait : ce que l'on observe, ce que l'on consulte dans les conduite réelles.

    En droit : ce qui devrait être si l'on se réfère à un principe juridique ou morale.
    Exemple : Peut-on regarder grtuitement un film récent ?
    - En droit, non
    -En fait, oui

    La deuxièle formulation de l'impératif  catégorique serait le respect de la personne comme loi morale.
            
               moyen    fin relative                                                     Bonheur
    Sujet --------->X ------ >X --------> X ------->X -------> X

    Selon Kant, la personne est une "fin en soi", cela signifie qu'elle est libre et qu'elle est à l'origine de son propre projet. Il est alors illégitime de la réduire à un simple moyen d'atteindre mes propres fins.
    Exemple : dans la relation de travail, le salarié à consentis à être "utilisé", il a sign un contrat, il poursuit lui même sa propre fin qui est de gagné de la'gent. L'esclavage contrdit la notion même de personne en réduisant l'esclave à un simple moyen.
    Pour Kant, le respect de la personne est une valeur absolu c'est pourquoi l'impératif catégorique nous enjoint de respecter les personnes quelques soit les circonstances.

                  Personne --> dignité = valeur absolue     Choses --> prix =valeur relative
    Exemple : Peu-on, pour guérir une maladie grave, tester sur une minorité de gens ?
    -> au maximum les test sont réalisés sur des animaux qui n'ont pas de valeurs absolu.

    Exemple : Peut-on mentir à un patient sous pretexte que cea l'aidera à gérir ?
    -> L'interdiction de mentir à un patient sur son état de sané est absolu (elle na pas d'exeption). En effet, le paient est une personne avant d'être une pathologie, il est importan qu'il consente au soin.

    Bilan B :

    Notre raison nous indique notre devoir morale sous forme d'impératif catégorique, ces actions sont bonnes absolument leurs valeurs ne dépent pas des circonstances.

    Bilan II :

    Si nous avons une consience morale distincte de notre entendement nous avons un sens du bien et du mal.

    III/ Faisons-nous notre devoir parce que nous avons quelques choses à gagner ?

    A/ Kant, l'antinomie entre morale et bonheur

    Selon Socrate, "nul n'est méchant volontairement".
           erreur --> intelligence          faute --> morale
    Celui qui fait le mal a pris ce mal pour un bien, c'est donc une erreur.
    Exemple :l'élève qui triche croit que la bonne note est un bien alors que c'est le travail qui est un bien.

    La mauvaise action est porteuse de son propre châtiment. Le méchant feras son propre malheur (notamment à cause du remord)
    Pour Kant, il est possible de choisir le mal pour mal.
    Kant distingue le fait d'être heureux et le fait d'être digne du bonheur. Il n'y a aucune nécessité que l'un entraine l'autre.
    Exemple : Quelqu'un qui a gangé au jeux en trichant peut se félicité de sa réussite (bonheur) mais si il se compare à la loi morale il saurait qu"il ne mérite pas ce bonheur.
    Remarque : C'est parce que les bonnes actions ne sont pas porteuse de leur propres récompenses que Kant parle d'un jugement dernier : cette idée religieuse doit nous encourager à être verteux.

    Bilan A :

    Selon Kant, la bonne action n'a pas pour récompense le bonheur. Alors pourquoi faire des efforts pour agir ?
    Parce que l'action est bonne en elle -même -> impératif catégorique.
    On parle à propos de Kant d'un héroîsme morale : c'est le moment où l'on fait son devoir même si cela revient à sacrifier son bonheur.

    B/ L'utilitarisme

    L'utilitarisme concile morale et bonheur, il y a une différence avec les sagesses antiques :
    -Pour Socrate, faire le bien entrainerais une récompense.
    -Pour les utilitaristes, nous faisons le bien afin d'obtenir la récompense.

    utilitarisme : théorie selon laquelle nous n'agissons que parce que nous y trouverons un intêret. La rationalité ici est du type calcul coût/avantage.

    Ce qui importe nest pas l'intention de celui qui agit mais c'est le résultat.
    Exemple : Si une star fais de l'humanitaire contre rémunération par un sponsort, peut importe qu'elle le fasse pour l'argent, cela reste une action bénéfique pour la société.
    Le fait que de bonne action soient réslisés dépent moins de la morale des individus que de la qualités des lois. C'est au législation de mettre en place les bonnes incitations faire de bonne actions. Il faut atteindre un ordre social dans lequel le bonheur des uns face le bonheur des autres.

    Bilan III :

    Sujet de dissertation : faut'il sacrifier notre bonheur pour faire notre devoir morale ?
    - Pour Kant, c'est un indice qui nous permet de reconnatre l'impératif catégorique, nous seriosn prêt à sacrifier notre bonheur si le devoir l'exige.
    - Pour un utilitariste il est important d'arriver à concilier devoir et bonheur parce qu'il est peu probable que beaucoup d'individu soient prêt à faire le sacrifice de leur bonheur.

    IV/ Le consèquentialisme

    Le consèquentialisme est une théorie selon laquelle la valeur d'un acte répent des conséquences prévisible que en découleront.
    Exemple : le mensonge est en lui même mauvais mais si l'on ment pour sauver la vie de quelqu'un qui es poursuivis par des assassins, cela devient une bonne action.

    Il y a deux systèmes éthiques :
    - l'hétique de la conviction -> s'orienter selon ses valeurs.
    - l'hétique de la responsabilité -> conséquentialiste.

    Max Weber pense que l'hétique de la résponsabilité est adapté à l'action politique. Le politique responsable cherche a anticiper les conséquences de ses actes et parfois il agis contre ses convictions si les conséquences lui semble meilleurs.
    Concevoir un bien idéal peut être contre-productif en politique et le réalisme est plus adapté.
    Exemple : certaine associations qui millitent pour la légalisation du cannabis affirment être contre l'usage de ces droguent cependant le fait de les interdirent seraient contre productifs parce que cela favoriseraient les trafics. Autorisé permet de surveiller et faire de la prévention.

    Bilan IV :

    Selon l'approch conséquentialiste, ce sont les fins qui sont bonnes et la fin justifies les moyens . Parfois il faut commetre une mauvaises actions pour atteindre de bonnes conséquences.
    Kant est opposés à l'approche conséquentialiste, il insiste sur l'aspect d'insertitude de l'avenir. Il n'est pas pour lui justifiable de commetre une mauvaises action pour une conséquence future qui reste incertaine.